chapitres 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48 et 49 du dernier jour d'un condamné

Préparation au Régionale
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Questions de compréhension chapitre: 33

1-Comment le narrateur a tenté d'oublier ses souffrances ?
2- Comment ses souvenirs sont-ils qualifiés ?
3- Complétez le tableau suivant à partir du souvenir du narrateur 


4- Qui le narrateur a-il rencontré dans le jardin ?
5- Complétez le tableau suivant à partir du souvenir du narrateur 

Réponse : Chapitre 33

1-Le narrateur a tenté d'oublier ses souffrances en se réfugiant dans les souvenirs de l'enfance et de la jeunesse.
2-Les souvenirs d'enfance sont qualifiés de doux et de calmes

4-Le narrateur relate le souvenir d'une jeune fille Espagnole appelée Pepa et qu'il a rencontrée quand i était jeune.
5-Description de la rencontre avec Pepa la rencontre avec Pepa enfant et la rencontre avec Pepa adolescente.


 



Questions de compréhension chapitre:34


1-A quel moment se passe cette scène ?
2-Quel événement vient perturber les beaux souvenirs du narrateur ?
3- Que ressent le narrateur ?
4- Comment voit-t-il sa mort ?
5- Que reproche le narrateur aux humains ?
6- Que veut faire le narrateur en sentant sa mort approcher ?

Réponse : Chapitre 34

1-Lascène se passe à une heure de l'après-midi.
2-Le narrateur revoit son crime et redevient angoissé après un moment de rêve.
3-Le narrateur ressent des remords. Il regrette son crime.
4-Le narrateur regrette que sa vie soit terminée par une décapitation. Il trouve sa fin très malheureuse parce qu'il ne mérite pas ce châtiment.
5-Le narrateur reproche aux humains leur indifférence à ses souffrances
6-Le narrateur qualifie veut se repentir mais les humains ne lui laissent pas cette chance.

Questions de compréhension chapitre: 35


1-A qui pense le narrateur dans ce chapitre ?
2- Que regrette le narrateur ?

Réponse : Chapitre 35

1-Le narrateur pense aux gens libres qui vaquent à leurs sorts.
2-Le narrateur regrette de la sorte son crime et s'apitoie sur son sort. Il apprécie la liberté quand il l'a perdue

Questions de compréhension chapitre: 36


1- Quel souvenir le narrateur évoque-t-il dans ce chapitre ?
2- Où se passe l'événement raconté ?
3- Pourquoi le narrateur évoque-t-il ce souvenir ?
4- Comment s'appelle le procédé stylistique employé dans ce chapitre qui consiste à évoquer un récit au moment où l'on raconte un autre récit ?

Réponse : Chapitre 36

1-Le narrateur se souvient du jour où il a visité le bourdon de Notre Dame de Paris.
2-L'événement raconté se passe au sommet de la tour de Notre Dame. Quand le narrateur était enfant, est monté au sommet de la tour de Notre Dame pour voir les passant du haut de la tour. Mais au moment où les cloches retentissaient, le narrateur a failli tomber puis il s'est accroché.
3-Le narrateur évoque ce souvenir parce qu'il ressent dans sa tête un étourdissement comme celui qu ressenti lorsqu'il était au sommet de la tour au moment où les cloches sonnaient.
4-Ce procédé s'appelle un récit enchâssé.

Questions de compréhension chapitre: 37


1- Relevez la description de l'Hôtel de Ville.
2- Quelle impression se dégage de cette description ?

Réponse : Chapitre 37

1-Description de l'hôtel de ville : 

2-il se dégage de cette description une impression de mélancolie et de tristesse causée par la vétusté de l'édifice qui porte le témoignage de toutes les exécutions et qui est présenté comme un être humain qui ne se lasse pas du spectacle de la mort.

Questions de compréhension chapitre: 38


1- Montrez que, plus le moment de l'exécution approche plus l'angoisse de la mort augmente chez le narrateur.
2- Que ressent le narrateur à l'approche de sa mort ?
3-Montrez que le narrateur vit la mort non seulement comme une torture morale mais aussi comme souffrances physiques.

Réponse : Chapitre 38

1-Le chapitre est encadré par deux marqueurs de temps ( il est une heure et quart/ encore deux heures et quarante cinq minutes) Cela montre que la hantise du temps est grandissante chez le narrateur qui se sent prisonnier de l'idée de sa mort.
2Le narrateur ressent un malaise physique grandissant :
Une violente douleur de tête, les reins froids, le font brûlant, un liquide qui flotte dans mon cerveau, des tressaillements convulsifs, les yeux se cuisent, mal dans les coudes.
3-Le malaise physique est le signe extérieur d'un mal psychique interne causé par la torture morale de la condamnation. La mort est ainsi vécue comme un mal physique.

Questions de compréhension chapitre: 39


1- Qu'oppose le narrateur dans ce chapitre ?
2- Quels procédés stylistiques emploie-t-il pour le savoir ?
3-Comment tourne-t-il en dérision le discours des autres sur la mort ?
4- Qu'est-il arrivé à Robespierre et à Louis XVI ?
5- Montrez comment le narrateur vit sa mort par anticipation.

Réponse : Chapitre 39

1Le narrateur oppose deux discours sur la mort : le sien et celui des responsables qui présument que le condamné ne ressent pas de douleurs lors de l'exécution, que la guillotine simplifie la mort.
2-Le narrateur emploie le discours rapporté ( ils disent que )
3Pour tourner en dérision le discours des responsables sur la peine de mort, le narrateur emploie deux procédés : l'ironie et l'interrogation rhétorique.
4-Robispierre et Louis XVI ont été exécutés.

5-Le narrateur vit par anticipation sa mort en imaginant comment elle sera et ce qu'il va ressentir.

Questions de compréhension chapitre: 40


1-A qui pense le narrateur dans ce chapitre et pourquoi ?
2- Complétez le tableau suivant pour montrer comment le narrateur qualifie le roi :

 Réponse : Chapitre 40

1-Le narrateur pense au roi en espérant une éventuelle grâce.
2-Portrait du roi:


 

Questions de compréhension chapitre: 41


1- Comment le narrateur a-t-il décidé d'affronter la mort ?
2- Quel est le mode verbal le plus employé pour affronter la mort ?
3- Quelle est la figure de style employée pour souligner la lenteur de la torture morale du narrateur ?
4- Relevez les deux suppositions que le narrateur fait de ce que sera sa vie après la mort.
5- Quelle forme de phrase le narrateur emploie--il pour parler de sa vie après la mort ?
6- Quelles impressions domineront sa vie après la mort ?
7- Relevez les moyens linguistiques pour exprimer des suppositions.
8- Pourquoi le narrateur emploie-t-il le futur simple pour parler de ce que sera sa vie après la mort ?
9- Relevez une supposition sur ce que sera la place de Grève après la mort du narrateur.
10- Qui le narrateur réclame-t-il pour répondre à ses questions sur la mort ?

Réponse: Chapitre 41

1-Le narrateur décide d'affronter la mort avec courage et détermination. Il emploie la première personne du pluriel, l'impératif et les verbes d'action
2-Le mode verbal le plus employé est le futur simple.
3-Le narrateur emploie la figure de la personnification pour parler de la mort « demandons-lui » et la figure de l'énumération pour parler de la personnification usée par l'idée de la mort.
4-le narrateur suppose que la vie après la mort sera soit un abime de lumières ( le paradis) soit un gouffre hideux( l'enfer).
5-Le narrateur emploie la forme impersonnelle suivie d'une complétive pour parler de la vie après la mort.
6-Le narrateur croit qu'il ressentira des sensations de tournoiement et de vertige après sa mort.
7-Les moyens linguistiques pour exprimer des suppositions sont « il me semble que, ils sembleront, peut-être, il se peut bien aussi que, il est probable que »
8-Le narrateur emploie le futur proche parce qu'il sent que sa mort est proche et qu'elle est devenue une réalité indéniable. L'espoir d'échapper à l'exécution diminue parce que la mort devient inévitable.
9-Le narrateur suppose que la place de la Grève sera investie de morts venus assister à d'autres exécutions.
10-Dans un élan de délire le narrateur tente d'imaginer comment seront tous les morts qu'il rencontrera après sa mort et comment sera sa mort, il réclame un prêtre faisant foi pour répondre à ses questions.

Questions de compréhension chapitre: 42


1- Qu'a fait le narrateur après la visite du prêtre ?
2- Quel rêve le narrateur a-t-il fait ?
3-Qu'a-t-on appris au narrateur après le réveil ?

Réponse: Chapitre 42

1-Après la visite du prêtre le narrateur s'est endormi parce qu'il a refusé le prêtre de la prison.
2-Le narrateur a fait un mauvais rêve. Il a rêvé qu'un soir chez lui une vieille femme est entrée en cachette dans la cuisine. Au moment où il allait la punir, il s'est réveillé frissonnant.
3-On lui a appris après son réveil que sa fille est venue lui rendre visite.

Questions de compréhension chapitre: 43


1- Relevez le portrait de la fille du narrateur ?
2- Quelle est l'impression qui se dégage de ce portrait ?
3- Qu'a ressenti le narrateur après s'être ignoré de sa propre fille ?
4- Pourquoi le narrateur a dit : « je ne tiens plus à rien » ?
5- Qu'est-ce qui rend cette scène si pathétique ?

Réponse: Chapitre 43

1-Portrait physique : elle est fraîche, elle est rose, elle a de grands yeux, elle est belle
Portrait moral : elle me regardait d'un air étonné, jetant un coup d'œil inquiet, elle a poussé un cri.
2-Le portrait de la fille du narrateur dégage une impression de désolation. La fille est ainsi la négation de son père. Toute la vie que dégage son portrait est à l'opposé de la lente agonie du père.
3-Après s'être ignoré de sa propre fille le narrateur a ressenti une grande amertume et un désespoir total.
4-Puisque sa fille ne reconnaît pas son père, le narrateur n'a plus de raison de vivre.
5-Cette scène est hautement pathétique parce qu'elle présente une situation dramatique : le narrateur n'est pas reconnu de sa propre fille, sa seule raison d'être puis la fille qui a toute la vie devant elle se trouve privée de son père et de l'amour paternel.

Questions de compréhension chapitre: 44


1- Comment le narrateur se prépare-t-il pour affronter la mort.
2- Combien de temps lui reste-t-il pour vivre ?

Réponse : Chapitre 44

1-Apres la triste visite de sa fille, le narrateur se sent prêt pour la mort alors il se concentre sur son exécution en vivant par anticipation sa mort.
2-Il lui reste une heure avant la mort.

Questions de compréhension chapitre: 45


1- Relevez le temps verbal dominant et justifiez son emploi.
2- A quoi le peuple est-il assimilé ?

Réponse : Chapitre 45

1- Le temps verbal dominant est le futur simple. L'emploi du futur est justifié par l'approche de la mort et par le désir profond d'écarter cette idée projetée dans le futur.
2-le peuple est décrit comme un être insensible aux souffrances du condamné. Un être sadique qui tire du plaisir dans les souffrances des condamnés.

Questions de compréhension chapitre: 46


1- Qu'est-ce que le narrateur a décidé d'écrire ?
2- Pourquoi le narrateur a-t-il décidé pour sa fille ?

Réponse : Chapitre 46

1- Le narrateur a décidé d'écrire quelques pages pour sa fille lui expliquant pourquoi il lui a laissé un nom de famille déshonorant.
2-Le narrateur croit que sa fille a le droit de savoir l'histoire de son père.

Questions de compréhension chapitre: 47


1-Pourquoi cette lettre ne figure pas dans le roman ?

Réponse : Chapitre 47

1-Cette lettre ne figure pas dans le roman parce que le manuscrit a été égaré.

Questions de compréhension chapitre: 48


1-Partagez ce chapitre en deux parties et donnez un titre à chacune d'entre elles.
2- Où se trouve le narrateur ? Comment se sent-il ?
3- Où sera-t-il conduit ? Comment le prépare-t-on à cette épreuve ?
4-Comment va-t-il être escorté ? Que rappelle son cortège ?
5- Comment le peuple est-il qualifié ?
6- Relevez le champ lexical du peuple animalisé.
7-Montrez, à l'aide d'indices stylistiques, que la foule est présentée comme une seule entité.
8- Montrez que la foule est réduite à une seule voix ?
9- Comment se comporte le narrateur avant son exécution. ?
10- Que ressent le narrateur à l'approche de la mort ?
11- Quelle est la forme de phrase la plus utilisée ? Dites pourquoi.
12- Relevez le portrait du bourreau et dites quelle impression il dégage.
13-Relevez les étapes des préparatifs à l'exécution.
14- Complétez le tableau suivant en vous référant au texte :
L'entrée sur scène du condamné/acteur


 15-Montrez que le condamné est comme un acteur qui se prépare pour jouer un rôle?
16- Peut-on considérer le condamné comme un héros tragique ? Justifiez votre réponse.
17- Montrez que l'espace des spectateurs est décrit conne un tableau pictural qui inspire le malaise.
18-Montrez que Victor Hugo théâtralise cette exécution pour banaliser la peine de mort et pour la dépasser en rendant le cas du narrateur très pathétique.

Reponse : Chapitre 48

1-Ce chapitre se divise en deux parties :
a) la première relate les préparatifs du condamné dans l'hôtel de ville.
b) la deuxième relate le trajet dans la charrette vers l'échafaud.
2-Le narrateur se trouve dans une chambre au rez-de-chaussée de l'hôtel de ville. Il se sent faible mais
déterminé a subir sa condamnation.
3-Le narrateur sera conduit a la place de la Gr
ève pour être exécuté. Physiquement on le prépare à l'exécution en lui faisant la follette du condamne. Le prêtre l'accompagne dans son dernier voyage sans le soutenir.
4-Le cortège du narrateur est escorte par des gendarmes et des soldats comme celui des forçats en partant pour Toulon sous une pluie fine.
5-Le peuple est qualifié d'animal qui hurle.
6-Champ lexical du peuple animalise : le peuple qui aboie, la foule hurlait, les mille têtes hurlantes.
7-La foule est présente comme une seule entité par l'emploi de :
- termes singuliers mais qui représentent un pluriel comme foule, peuple, populace.
- Hyperboles comme mille têtes, une mer de têtes.
8-La foule est réduite à une voix par l'emploi des verbes comme crier, hurler; de noms comme hurlement, bruit ou d'adjectifs comme hurlante.
9-Le narrateur se comporte docilement, il ne proteste pas contre ce que lui font le bourreau et ses valets, il exécute leurs ordres « ils m'ont dit de m'asseoir : je me suis assis ».
Le narrateur affronte la mort avec responsabilité et accepte son sort.
10-Le narrateur sent la mort le gagner avant même son exécution. Ainsi, ses jambes fléchissent, sa nuque reste paralysée, ses pas sont mous. Il perd certaines facultés : « le cœur m'a failli, je commençais à ne plus voir, à ne plus entendre. »

II-La forme de phrase la plus employée est la forme factitive a sens passif. Le narrateur subit l'action des autres, il est déjà mort en occupant la place de COD « on m'a déposé, ils m'ont fait traverser, ils m'ont poussé...»

12-Portrait du bourreau : Le plus grand, le plus vieux, gras, la face rouge, il portait une redingote et un chapeau. Le portrait du bourreau dégage une impression de vie et de vigueur qui s'oppose totalement à la tâche qu'il exécute.
13-Les préparatifs à l'exécution : il a été mis dans une chambre de l'hôtel de ville, on lui a coupé les cheveux. on lui a enlevé la veste, on lui attaché les deux mains derrière le dos, on lui a coupé le col de la chemise on lui a lié les deux pieds.
On remarque que le narrateur n'est pas assisté moralement dans cette épreuve. Cela rend son cas très
pathétique et fait de lui un héros tragique par excellence. 


Le condamné se prépare à jouer un rôle. Celui du hêros qui entre sur scêne pour mourir. On peut donc le considérer comme un héros tragique.
15-le narrateur est présenté comme un acteur qui se prépare à entrer sur scène pour jouer un rôle : il est présenté d'abord dans les coulisses entrain de faire sa toilette ensuite il entre sur scène où il perçoit lo lumière blanche, puis il est acclamé par les spectateurs venus assister au spectacle; de plus il ressent le trac et il fait trois pas pour paraître à son public.
16-On peut considérer le narrateur comme un héros tragique qui subit le sort infligé par les humains et contre lequel il se débat jusqu'à la dernière minute de sa vie mais qui finit par mourir.
17-L'espace réservé aux spectateurs est présenté comme un tableau pictural à quatre plans :
a)sur la rampe du grand escalier le narrateur voit les têtes des spectateurs.
blà sa droite le narrateur voit un rang de chevaux de gendarmes.
c)en face de lui le narrateur voit un détachement de soldats.
e) à sa gauche le narrateur voit l'arrière d'une charrette.
18-Victor Hugo théâtralise cette condamnation pour montrer que la peine de mort est une mascarade sociale faite non pas pour corriger mais pour donner du spectacle au peuple avide de sang et de mort D'ailleurs, la cellule des condamnés ne désemplit pas. Le châtiment suprême ne sert donc pas de leçon de morale puisque les crimes continuent dans la société. Les exécutions deviennent un moment de joie et de liesse et le tragique se trouve ainsi détourné. Le narrateur est présenté comme un homme responsable qui accepte son sort, qui se trouve seul dans un monde sans âme et sans pitié. Le narrateur subit les actions des autres sans protester, il inspire la pitié parce qu'il n'est pas assisté par un prêtre honnête. Il se sent seul abandonné de tout le monde même de sa fille qui ne le reconnaît pas.

Questions de compréhension chapitre: 49

1-Qu'a demandé le narrateur au magistrat ?
2-Comment était la réponse du magistrat ?
3-Pourquoi le narrateur a-til demandé cinq minutes ?
4-Que ressentait le narrateur avant son exécution ?
5-A quelle heure l'exécution a-t-elle eu lieu ? 

Réponse : Chapitre 49

1-Le narrateur a demandé au magistrat une grâce.
2-La réponse du magistrat était négative et ironique.
3-Le narrateur a demandé qu'on lui accorde cinq minutes de plus parce qu'il espérait avoir une grâce à la dernière minute. Hélas ce ne fut pas le cas.
1-Le narrateur est pris de panique en entendant les bourreaux monter le chercher pour l'exécuter.
5-L'exécution a eu lieu à quatre heures de l'après-midi. L'indicateur temporel « QUATRE HEURE » met un terme à tout forme d'espoir d'échapper à la mort. Il pourrait être considéré comme le couperet de la guillotine qui tranche la tête du condamné et qui met fin au roman.


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